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domingo, 20 de maio de 2012

REPORT : The State of Debt : Putting an end to 30 years of crisis


Thirty years of debt crisis have devastated livelihoods across the world. Debt cancellation finally released some countries from one debt trap, but the First World Debt Crisis shows yet again why reckless lending and borrowing need to be governed and controlled. The First World Debt Crisis has led to government debts in impoverished countries increasing, and unregulated opaque private lending also risks increasing inequality and crisis. We need a new system for monitoring and regulating the way money moves across the world, so that finance works for people.

Source : http://www.jubileedebtcampaign.org.uk/stateofdebt

sábado, 19 de maio de 2012

La dette publique, une affaire rentable : A qui profite le système ? 2e édition

http://www.yvesmichel.org/admin/espace-economie-alternative/la-dette-publique-une-affaire-rentable

Préface :

Tous les citoyens devraient parfaitement connaître les mécanismes élémentaires de la création monétaire et de la dette publique : notre émancipation politique et économique dépend directement — et inévitablement — de notre émancipation monétaire. À ce simple titre, ce livre est important et pourra sans doute changer votre compréhension du monde, comme il a changé la mienne.

J’étais, en 2005, tout entier consacré à l’analyse de nos institutions (françaises et européennes) ; j’avais compris, cette même année, que ce n’est pas aux hommes au pouvoir d’écrire les règles du pouvoir, que tous les abus de pouvoir étaient rendus possibles par la malhonnêteté des processus constituants. Je discutais sur mon forum des grands principes d’une bonne Constitution, et nous écrivions sur le wiki une Constitution d’origine Citoyenne, ce que j’appelle le site du «Plan C».

J’avais donc commencé à construire un outil — que je crois inédit et prometteur — pour une prochaine émancipation générale. Mais je négligeais complètement, par ignorance, un point absolument essentiel, un point à cause duquel toute solution politique semble effectivement interdite. André-Jacques Holbecq est venu un jour sur le forum du Plan C et a créé un fil étrange dont le titre était «Reprendre la création monétaire aux banques privées»…

La réaction fut rapide et le fil de discussion est devenu un des plus actifs et riches du site : nous progressons tous ensemble assez vite sur ce sujet décisif et méconnu: ce sont les banquiers privés qui maîtrisent le pouvoir politique, et la maîtrise privée de la création monétaire est un verrou diabolique qui interdit en profondeur tout droit des peuples à disposer d’eux-mêmes.

Par habitude, par ignorance, par négligence, nous acceptons sans le savoir une profonde servitude non nécessaire: il n’y a rigoureusement aucune raison d’abandonner la création monétaire aux banques privées.

Ainsi, des sommes considérables, celles des intérêts de toute cette création monétaire privée, sont retirés depuis des décennies à la collectivité française, dans la plus grande discrétion et sans la moindre justification politique ou économique, et sans le moindre débat public sur le sujet.

De plus, une dette publique extravagante, annuellement renouvelée, complètement asphyxiante pour les services publics et pour le bien-être général est née de cette invraisemblable ponction. Cette dette est très injustement imputée à la prétendue incurie de l’État : il n’en est rien, puisque les dépenses publiques restent assez stables en France depuis des décennies. Non, c’est bien d’un racket privé de la richesse publique qu’il est question à la source de la dette publique, depuis 1973 en France, et partout dans le monde ; à l’évidence, l’internationale des banques existe déjà bel et bien, et il est plus que temps de la repérer et d’en décrire les méfaits.

Comprendre cette servitude injuste et la faire connaître à tous les citoyens, c’est déjà préparer notre prochaine libération.

Puisqu’on m’en donne ici l’occasion, je vais remercier André-Jacques Holbecq et Philippe Derudder du fond du cœur : ils ont, dans leurs différents livres, écrits seuls ou en commun, considérablement enrichi mon analyse politique des abus de pouvoir en me rendant sensible un rouage déterminant dans l’oppression des hommes (nés libres) par le travail forcé. Tous deux cherchent honnêtement, ils écoutent tout le monde, ils passent des milliers d’heures à expliquer et expliquer encore ce qu’ils ont compris.

Et, puisqu’il est presque mon voisin, André-Jacques devient un ami ; et je le vois progresser à toute vitesse, en nous emmenant avec lui.

Il est généreux et pragmatique, il reconnaît tout naturellement ses erreurs, son action est utile, très utile, pour le bien public. Je suis heureux de l’avoir rencontré et je vous engage à le découvrir à votre tour.

Étienne Chouard

Source : http://etienne.chouard.free.fr/Europe/forum/index.php?2008/05/16/94-la-dette-publique-est-une-affaire-tres-rentable-mais-pour-qui

terça-feira, 24 de abril de 2012

The Grip Of Death - A Study Of Modern Money, Debt Slavery And Destructive Economics by Michael Rowbotham

http://www.amazon.co.uk/Grip-Death-Slavery-Destructive-Economics/dp/1897766408

A lucid and original account of where money comes from and why most people and businesses are so heavily in debt. It explodes more myths than any other book this century, yet it's all about subjects very close to home: mortgages, building societies and banks, agriculture, transport, global poverty, and what's on the supermarket shelf. The author proposes a new mechanism for the supply of money, creating a supportive financial environment and a decreasing reliance on debt.

Michael Rowbotham is a political and economic writer and commentator based in the UK who is best known for his two books The Grip of Death (1998) and Goodbye America (2000). The Grip of Death focuses on what he believes to be inequities in the practice of fractional reserve banking (which he equates with counterfeiting) and the economic distortions he believes to be inherent in the so-called debt-based monetary system which almost all nations utilise in the modern age. In Goodbye America Rowbotham argues that Third World debt is immoral, invalid, and inherently unrepayable. He argues that this 'unjust' debt should be canceled immediately.

sexta-feira, 2 de setembro de 2011

Are we slaves to debt? The history of spending more than we have


http://www.pbs.org/wnet/need-to-know/

The debate over what to do about debt is nothing new, according to anthropologist David Graeber. Alison Stewart talks with Graeber about our misconceptions about debt and why it plays such a large role in history. Need to Know airs Fridays on PBS.

domingo, 28 de agosto de 2011

DEBT: The First 5,000 Years by David Graeber


Every economics textbook says the same thing: Money was invented to replace onerous and complicated barter system--to relieve ancient people from having to haul their goods to market. The problem with this version of history? There's not a shred of evidence to support it.

Here anthropologist David Graeber presents a stunning reversal of conventional wisdom. He shows that for more than 5,000 years, since the beginning of the agrarian empires, humans have used elaborate credit systems. It is in this era, Graeber shows, that we also first encounter a society divided into debtors and creditors.

With the passage of time, however, virtual credit money was replaced by gold and silver coins--and the system as a whole began to decline. Interest rates spiked and the indebted became slaves. And the system perpetuated itself with tremendously violent consequences, with only the rare intervention of kings and churches keeping the system from spiraling out of control. Debt: The First 5,000 Years is a fascinating chronicle of this little known history--as well as how it has defined human history, and what it means for the credit crisis of the present day and the future of our economy.